Cendrillon et le prince (pas trop) charmant
Posté: Jeu Avr 05, 2007 8:33 amEncore un film mal torché qui abuse de situations convenues.
L'histoire : un magicien genre Merlin veille au bon équilibre des contes de fée d'un monde imaginaire. Il part en vacances, pas comme merlin à Saint-trop' mais en ecosse faire du golf et laisse la boutique à ses deux assistants, clones de Timon et Pumba : un goret et un truc à poil doublés par Eric et Ramzy. Bien sur ils foutent la pagaille et c'est une vamp' sexy (doublée par Catherine Frot qui en fait des tonnes pour combler le vide abyssal de l'intrigue) maratre de cendrillon qui récupère le baton du mage pour faire aller tous les contes dans le sens des méchants.
Le prince charmant est idiot (Dany Boon, efficace), c'est donc son valet qui doit gérer le bazard avec une cendrillon -"sandy"- brune au ch'veux courts (doublée lamentablement par une Laura Smet incapable d'insuffler ne serait-ce qu'un zest de dynamisme au personnage) et évidemment les deux nabots vulgaires du mage.
L'action est décousue, c'est mou et vraiment pas drôle, un peu comme un Tex Avery, concentré de 7mn de délire parodique, qui aurait été délayé dans 1h20 d'édulcorant insipide.
Question technique les modélisations des personnages sont assez réussies, à part les deux crétins de l'enchanteur dont on trouve les clones dans au moins vingt jeux vidéo, mais comme toujours les caméras virevoltent, l'animation est raide et sans grace, les décors passe partout. Y'a plein de noms français au générique, le film est produit par Vanguard, qui avait déjà sévi avec Valliant et qui embauche pas mal depuis l'angleterre, mais vraiment ça ne restera pas dans les mémoires, sinon comme l'exemple d'une production sans intérêt.
Peut-être deux trucs m'ont fait sourire : la maraine atteinte d'alzeihmer précoce qui appelle cendrillon "ganglion" et les nains de blanche neige transformés en commando hargneux... mais même ça c'est raté et mal exploité.
+
cé
L'histoire : un magicien genre Merlin veille au bon équilibre des contes de fée d'un monde imaginaire. Il part en vacances, pas comme merlin à Saint-trop' mais en ecosse faire du golf et laisse la boutique à ses deux assistants, clones de Timon et Pumba : un goret et un truc à poil doublés par Eric et Ramzy. Bien sur ils foutent la pagaille et c'est une vamp' sexy (doublée par Catherine Frot qui en fait des tonnes pour combler le vide abyssal de l'intrigue) maratre de cendrillon qui récupère le baton du mage pour faire aller tous les contes dans le sens des méchants.
Le prince charmant est idiot (Dany Boon, efficace), c'est donc son valet qui doit gérer le bazard avec une cendrillon -"sandy"- brune au ch'veux courts (doublée lamentablement par une Laura Smet incapable d'insuffler ne serait-ce qu'un zest de dynamisme au personnage) et évidemment les deux nabots vulgaires du mage.
L'action est décousue, c'est mou et vraiment pas drôle, un peu comme un Tex Avery, concentré de 7mn de délire parodique, qui aurait été délayé dans 1h20 d'édulcorant insipide.
Question technique les modélisations des personnages sont assez réussies, à part les deux crétins de l'enchanteur dont on trouve les clones dans au moins vingt jeux vidéo, mais comme toujours les caméras virevoltent, l'animation est raide et sans grace, les décors passe partout. Y'a plein de noms français au générique, le film est produit par Vanguard, qui avait déjà sévi avec Valliant et qui embauche pas mal depuis l'angleterre, mais vraiment ça ne restera pas dans les mémoires, sinon comme l'exemple d'une production sans intérêt.
Peut-être deux trucs m'ont fait sourire : la maraine atteinte d'alzeihmer précoce qui appelle cendrillon "ganglion" et les nains de blanche neige transformés en commando hargneux... mais même ça c'est raté et mal exploité.
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cé
